La « Loi sur les langues officielles » du Nouveau-Brunswick fera l’objet d’une « révision » en 2012, ce qui signifie que des articles peuvent être ajoutés ou supprimés, pour en faire la « loi » dans la provinciale.
Il existe une politique dans la fonction publique provinciale intitulée la « politique de la langue de travail ».
Elle stipule que l'employé a le droit de travailler dans la « langue officielle » de son choix.
La SANB (la Société acadienne) travaille avec le Commissaire aux langues officielles du Nouveau-Brunswick, Michel Carrier, et ses acolytes afin que cette « politique » soit incluse et mise en vigueur dans la « Loi ».
Comme conséquence, à l’avenir, aucun anglophone Néo-Brunswickois unilingue ne sera embauché dans la fonction publique provinciale, car il ne pourra pas communiquer avec certains francophones parfaitement bilingues qui refusent tout simplement de parler en anglais à leurs collègues!
Cette politique ridicule et discriminatoire doit être rejetée et ne jamais faire partie de la Loi.
Il existe une politique dans la fonction publique provinciale intitulée la « politique de la langue de travail ».
Elle stipule que l'employé a le droit de travailler dans la « langue officielle » de son choix.
La SANB (la Société acadienne) travaille avec le Commissaire aux langues officielles du Nouveau-Brunswick, Michel Carrier, et ses acolytes afin que cette « politique » soit incluse et mise en vigueur dans la « Loi ».
Comme conséquence, à l’avenir, aucun anglophone Néo-Brunswickois unilingue ne sera embauché dans la fonction publique provinciale, car il ne pourra pas communiquer avec certains francophones parfaitement bilingues qui refusent tout simplement de parler en anglais à leurs collègues!
Cette politique ridicule et discriminatoire doit être rejetée et ne jamais faire partie de la Loi.
La lettre est signée Daryl Doucette, de Moncton. La traduction est de moi et j'ai choisi de souligner une partie de la lettre. Modifions un peu la partie soulignée :
Comme conséquence, à l’avenir, aucun francophone Néo-Brunswickois unilingue ne sera embauché dans la fonction publique provinciale, car il ne pourra pas communiquer avec certains anglophones parfaitement bilingues qui refusent tout simplement de parler en français à leurs collègues!
Parions que M. Doucette n’y verrait aucun problème!
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